Motifs de consultation et traitement
Je reçois en cabinet un patient souffrant de douleurs cervicales depuis 3 ans et descendant dans le bras gauche depuis un an. Je retrouve un problème de foie et des blocages articulaire sur le trajet du plexus brachial gauche qu'il m'a fallu libérer.
Voir cette actualitéJe reçois en cabinet une patiente souffrant du bas du dos depuis 18 ans. Cette douleur est présente lorsqu’elle change de position, met ses chaussures et est majorée lorsqu’elle éternue. Il faudra 3 séances pour libérer complètement cette douleur.
Voir cette actualitéL’ostéopathe se base sur les sciences biologiques comme la neurologie pour déceler les dysfonctionnements du corps humain et y remédier. Ce que l’on appelle « pathologie » est le stade le plus avancé d’un dysfonctionnement.
Voir cette actualitéLes patients sont souvent étonnés par les liens que nous faisons en tant qu’ostéopathe entre les différentes parties du corps humain. Ces liens dérivent de nos connaissances des sciences biologiques telles que l'anatomie, la physiologie, l'embryologie...
Voir cette actualitéLes domaines d’action de l'ostéopathie sont vastes. Les « urgences » en font partie. Cependant, il ne s’agit pas du même type d’urgences que celles de l'hôpital. Il est parfois nécessaire de passer chez son médecin généraliste au préalable.
Voir cette actualitéNotre travail ne consiste pas seulement à vous soulager de vos symptômes. Nous menons toute une investigation afin de traquer et résoudre leur cause sous-jacente. Pour cela, votre participation est primordiale.
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La douleur est le motif de consultation le plus fréquemment rencontré en ostéopathie. C’est un signal d’alarme qu’il ne faut pas négliger si l’on veut rester en « bonne santé ». Traiter la douleur ne suffit pas, il faut aussi traiter son origine.
Voir cette actualitéJean-Philippe FOISSY a intégré médecine traditionnelle chinoise et nouvelles connaissances sur le cerveau à sa pratique de l’ostéopathie. Son hypothèse est que toute maladie est liée à un « intrus » et peut-être soulagée par notre cerveau primaire.
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